La tête dans les nuages, la bite dans l'champagne.
Je n'arrivais pas à dormir hier soir, alors j'ai essayé de trouver des idées pour un roman.
J'ai fait le plan du premier chapitre, j'ai trouvé un titre possible et un début de dialogue non autobiographique, je tiens à préciser (pour moi-même), j'ai noté deux trois idées, et je me suis même rensiegné pour sucer quelques bites chez Flammarion. Pas moi de cent. Ah non c'est le nombre de pages.
"-Voyons les choses en face. Tu ne me rends pas heureux et je ne te rend pas heureuse.
-Alors pourquoi reste-on ensemble?
-Parce qu'on est tout deux incapable de trouver quelqu'un d'autre. Ce qui nous tient c'est pas l'amour ni la passion, ou même la tendresse, c'est la facilité.
-En fait ton problème c'est que t'as pas de coeur. T'as juste un truc qui te sert pour pomper le sang."
C'est bizarre parce que ça ne correspond pas du tout à mon humeur.
Je suis guilleret, malgré le nutella qui recouvre la manche gauche de mon t-shirt.
Je viens à l'instant de me rendre compte que je me suis frotté le ventre avec la main gauche. je suis recouvert de Nutella. Quel con.
Subversion n'arrive jamais à faire un article sans dire qu'il s'est masturbé. D'où lui vient cette frénésie onaniste exhibée? Je pose la question.
Je crois que je ne vais pas garder ce bout de dialogue.
Si vous me disiez que vous n'aimez pas les transitions entre deux idées, ça me rassurerait.